Les ports de Bayonne et de Pasaia renforcent leur coopération transfrontalière – El Canal

Le MoU renforcera la connectivité transfrontalière, l’efficacité logistique et le développement durable »  Les ports de Bayonne et de Pasaia cherchent à consolider et à formaliser leur coopération transfrontalière par le biais d’un accord stratégique qui sera la base d’une alliance visant à promouvoir la durabilité et l’innovation dans le transport maritime. L’accord sera étayé par un protocole d’accord qui sera signé tout au long du mois de novembre. Les deux ports font partie du corridor atlantique du réseau transeuropéen de transport (RTE-T) et partagent une forte vocation industrielle, intermodale et transfrontalière. Sa complémentarité géographique et fonctionnelle offre une opportunité unique de construire un arc logistique durable entre la Nouvelle-Aquitaine et le Pays Basque, au bénéfice des entreprises et des collectivités des deux côtés de la frontière. En préparation du protocole d’accord (MoU), en juin dernier, une visite a été effectuée par la délégation de la Société portuaire du Port de Bayonne (SPPB) auprès de l’Autorité Portuaire de Pasaia (APP). Maintenant, cela correspond à une visite inverse au cours de laquelle une délégation du port de Gipuzkoa a visité les installations de l’infrastructure basco-française   La rencontre, organisée par la Société portuaire du port de Bayonne et l’Autorité Portuaire de Pasaia, a permis de renforcer les liens entre les deux entités, de partager des expériences de gestion et d’explorer de nouvelles opportunités de coopération dans les domaines de la logistique, de l’environnement et de l’innovation. Engagement en faveur de la compétitivité et de la durabilité Izaskun Goñi, président de l’APP, et Pascal Marty, président de la SPPB, étaient présents durant la journée, accompagnés de leurs collaborateurs, et après avoir visité différentes installations et entreprises établies, telles que Laminoirs des Landes ou Silos de l’Adour, les deux leaders portuaires ont réaffirmé leur engagement à développer une stratégie commune qui contribue à la compétitivité et à la pérennité du territoire partagé. Pascal Marty estime que « nous entamons une phase de collaboration stable et structurée » avec le port de Pasaia, au bénéfice de l’économie régionale et d’une « logistique plus verte ». Pour sa part, Izaskun Goñi souligne que « la volonté de coopération est partagée entre deux ports qui font face aux mêmes défis et partagent les mêmes valeurs : durabilité, innovation et service au territoire ».  » alt= »image007.png » border= »0″ class= »Apple-web-attachment » src= »cid:image007.png@01DC3C79.28A31CC0″ style= »width: 7.7083in; height: 4.8263in; opacity: 1; »> A Silos de l’Adour c’est Carlos Hevia qui s’est chargé des explications Les ports de Bayonne et de Pasaia renforcent leur coopération transfrontalière / El Canal  

Agri’Vrac a réuni deux cents acteurs intéressés par le secteur logistique et agroalimentaire – El Canal

LIRE L’ARTICLE EN ENTIER Premier grand événement B2B dédié aux professionnels des céréales, des engrais et de la nutrition animale du Sud-Ouest de la France Les organisateurs d’Agri’Vrac, le premier grand événement B2B dédié aux professionnels des céréales, des engrais et de la nutrition animale du Sud-Ouest de la France, ont trouvé la recette du succès lors de la huitième édition du salon et bourse agroalimentaire du port de Bayonne. Plus de 200 professionnels du secteur agroalimentaire et céréalier, ainsi que de la logistique associée, se sont réunis jeudi dernier à ce rendez-vous devenu incontournable pour les responsables du transport et de la logistique transfrontalière en Euskadi et en Nouvelle-Aquitaine. En plus des professionnels du secteur agroalimentaire, des producteurs et des clients des deux côtés de la frontière ainsi que des entreprises de logistique maritime et terrestre, la huitième édition d’Agri’Vrac a accueilli une réunion extraordinaire du Club Logistique Intermodal Portuaire de l’Euro-Région (Cliper) du port de Bayonne, la quatrième de l’année. Plusieurs semaines avant l’événement, tous les espaces d’exposition avaient déjà été réservés et le calendrier des conférences, rencontres et tables rondes, venant compléter le traditionnel rendez-vous sur les plages basco-landaises, était complet.   Le programme de cette année, concentré en une seule journée mais particulièrement intense, a été à la hauteur des défis environnementaux actuels, avec une attention particulière portée à la logistique bas carbone. La partie centrale de l’événement a ainsi été consacrée à la décarbonation du transport, avec une table ronde sur la multimodalité animée par l’AUTF (Association des Utilisateurs de Transport de Fret). Y ont participé les interventions de François Soulet de Brugière, président de l’AUTF Nouvelle-Aquitaine ; de Maëlys Mercier, qui a présenté les aides à la décarbonation pour les entreprises commerciales et industrielles ; et de Matthieu Brunel, responsable logistique de la source d’Abatilles, comme exemple de bonnes pratiques d’une entreprise ayant bénéficié du programme Fret 21 de l’Agence française de la transition écologique. Les sponsors de l’événement, Transcanfranc et Gexa, ont également eu l’occasion de présenter leur offre logistique décarbonée. Ainsi, Javier Apellániz a exposé les avantages de la ligne Goya, un lien logistique intermodal entre la France et l’Espagne. De son côté, Iñaki Gangoso, de l’entreprise de transport guipuzcoane Gexa, a présenté l’offre logistique complète de sa société : stockage, transport, services aux véhicules et aux transporteurs, ainsi qu’un système de chargement et de déchargement des camions grâce à ses nouvelles unités à plancher mobile. En résumé, une opportunité pour une logistique durable, efficace et transfrontalière.   La rencontre a également été marquée par la signature officielle du protocole d’accord (MoU) entre le port de Bilbao, représenté par son président Iván Jiménez, et Aquitaine Ports Link, l’association des ports néo-aquitains composée des ports de La Rochelle, Bordeaux, Charente Atlantique et Bayonne, représenté par son président, Pascal Marty. Ce MoU se concentre sur les secteurs du fret de projet et des énergies renouvelables. Plus précisément, la logistique de l’hydrogène vert d’une part, et le développement de l’éolien en mer d’autre part, constituent les axes forts de cette coopération. Cette année, l’espace d’exposition a été entièrement réservé à l’avance, avec un total de 21 exposants présentant leurs services attractifs tant pour le secteur agroalimentaire que pour la logistique. Outre les intervenants déjà mentionnés, étaient présents des représentants de la logistique tels que le port de Barcelone, Synergy, Jaylo Transports, Sea Invest, Les Silos de l’Adour, BBSA / BMP, Docks Maritimes ou Sotramab ; des fournisseurs d’équipements portuaires, comme Debusman ; des acteurs de l’emploi, via Arobase Emploi ; de l’énergie, avec Repsol ; ainsi que des entreprises liées au secteur agricole, telles qu’Aquitaine Courtage, Béton Basco Béarnais, SGS, Vivagro ou DoveBusters.

Agri’Vrac : le champ libre aux affaires – Presslib

Un rendez-vous où plus de 300 professionnels du maïs, des engrais et de la nutrition animale viennent labourer des pistes de collaboration et récolter de nouvelles opportunités, dans une ambiance aussi conviviale que fertile. Lire l’article en entier : https://presselib.com/article/agri-vrac-2025-champ-libre-affaires#:~:text=Ce%2025%20septembre%202025%2C%20l,on%20engrange%20de%20nouvelles%20collaborations.    

l’Association des Usagers du Transport de Marchandises présentera ses principales lignes à Agri’Vrac – El Canal

Lire l’article en espagnol : https://www.diarioelcanal.com/la-asociacion-de-usuarios-del-transporte-de-mercancias-expondra-sus-lineas-maestras-en-agrivrac Agri’Vrac acogerá una mesa redonda en torno a la digitalización y la descarbonización del transporte de mercancías Por  El Canal Marítimo y Logístico  – La AUTF (Asociación de Usuarios del Transporte de Mercancías) tendrá una participación significativa en el desarrollo de Agri’Vrac 2025 y se convertirá en uno de los principales atractivos de la jornada, a celebrar el próximo 25 de septiembre frente a las playas de Anglet. Un aliciente más para reservar plaza en este evento imprescindible para la logística transfronteriza y el comercio del sector agro.   Así, está prevista la intervención en torno a la multimodalidad a cargo de François Soulet de Brugière, presidente de AUTF Nueva Aquitania; Maëlys Mercier, quien explicará las ayudas para la descarbonización a la empresas comerciales e industriales; y Matthieu Brunel, responsable de logística del manantial de Abatilles presentará el planteamiento de su empresa y su interés en el programa Fret 21 de la ADEME (Agencia francesa de Medio Ambiente y Gestión de la Energía).   Multisectorial y multimodal Señalar que la Asociación de Usuarios del Transporte de Mercancías (AUTF) representa y apoya a las empresas industriales y comerciales en su papel de mandantes para enviar o recibir mercancías por todos los medios de transporte adecuados: aéreo, ferroviario, fluvial, por carretera, marítimo, ya sea nacional o internacional. Multisectorial y multimodal, su acción se enmarca en un enfoque global para mejorar el rendimiento económico y medioambiental de las cadenas de transporte, al servicio de la competitividad de las empresas y del atractivo de los territorios. Su papel de sensibilización también beneficia a las empresas que no son miembros porque contribuye a la información de la sociedad y al debate en los ámbitos medioambiental, económico, jurídico y regulatorio, relacionado con el transporte con la publicación regular de informes técnicos o jurídicos sobre los ámbitos de la logística y el transporte. La AUTF opera con comisiones especializadas, dirigidas por el personal permanente de la asociación, en las áreas: de carretera, fluvial, aérea, ferroviaria, aduanera y marítima. Además, su visión transfronteriza alcanza a España, principalmente en el marco del Consejo Europeo de Cargadores, representado por Transprime- Asociación española de empresas cargadoras; con la Asociación de Cargadores de España (ACE); y también está en contacto regular con la ESPO (Organización Europea de Puertos Marítimos). La AUTF y la descarbonización del transporte En términos de descarbonización del transporte y reducción del impacto ambiental, la AUTF ofrece servicios a medida, adaptados a todo tipo de cargadores como su Observatorio del transporte, la plataforma Cumulus para el cambio modal ferroviario y fluvial; el programa Remo para que los cargadores desarrollen soluciones de transporte eficientes, o los programas de financiación de los proyectos de descarbonización, como los Certificados de Ahorro Energético (CAE). Cada año, en Agri’Vrac se celebran jornadas técnicas sobre logística y transporte Desde la AUTF se promueven varias “palancas de descarbonización” como son el uso más optimizado de los medios de transporte habituales: grupaje, optimización de cargas, adaptación de los vectores utilizados como camiones, aviones, trenes, barcazas, barcos, etc. La digitalización de la cadena de suministro es, obviamente, una herramienta esencial para lograr estas optimizaciones. Otra palanca es la implementación de vectores logísticos más eficientes, como nuevos combustibles sintéticos, vehículos eléctricos, diseños más eficientes o vehículos y equipos de manipulación autónomos. Una tercera palanca es la provisión de redes de transporte adaptadas a las necesidades del comercio moderno. La carretera, las autopistas del mar y el transporte fluvial van por buen camino, no así el ferrocarril, que está empantanado en reflejos corporativistas y de seguridad que dificultan su adaptación al comercio moderno. El precio de la logística verde Los transportistas, en su más amplia acepción, obtienen ventajas de la logística libre de carbono, como una imagen de marca fortalecida, reducción de costos a largo plazo, facilidades en el acceso a los mercados, mejor trazabilidad del CO₂, cumplimiento normativo, etc. para resumir en un ventaja competitiva sostenible: Innovación, anticipación, mayor atractivo. Pero la descarbonización, a menudo, representa una carga significativa que el cargador debe afrontar cuando muchos terceros países no tienen los mismos requisitos que en Europa y que ésta no penaliza a las empresas extranjeras que no cumplen y, por tanto, se benefician de ventajas competitivas fuertes.   La AUTF ha sido capaz de firmar un acuerdo para un e-commerce más ecológico con 32 empresas y las ministras Agnès Pannier-Runacher (Transición Ecológica) y Véronique Louwagie (Comercio)   Además, desde la AUTF se advierte sobre la necesidad de digitalizar el sector, como eslabón importante en el proceso de descarbonización, pero se alerta de los peligros de los ataques cibernéticos. Se hace necesario que los cargadores, transportistas e intermediarios de la cadena de suministro acuerden invertir lo suficiente en herramientas de protección y, especialmente, en procedimientos estrictos para proteger el acceso a los datos. Entre las grandes empresas, este tema generalmente está bien afrontado, pero para las pymes, es mucho menos claro: muchas de ellas aún no han tomado consciencia de los riesgos que corren al permitir que sus datos circulen sin ninguna protección particular. El papel de la AUTF es concienciarlos de los riesgos involucrados, especialmente porque el cibercrimen estatal se está convirtiendo en un elemento importante de las guerras híbridas que estamos experimentando.   Desde la AUTF son conscientes de que el camino hacia la descarbonización va a ser largo, pero también de que cada vez más empresas francesas se arriesgan a comprometerse con ella. Por eso muestran su optimismo sobre la perspectiva de un progreso significativo en el cumplimiento de los plazos que la Unión Europea se ha fijado.

Le port de Bayonne inaugure le nouveau quai Armand-Gommès – El Canal

À présent, il peut accueillir deux navires simultanément   Le port de Bayonne a enregistré l’une de ses journées historiques avec l’inauguration du nouveau quai commercial Armand-Gommès, une extension du quai du Castel dans ce qui est la deuxième phase de restructuration des quais Blancpignon, un travail de 19 mois et 26 millions d’euros. Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine ; Mathieu Bergé, Conseiller régional en charge des Ports ; Sandrine Derville, vice-présidente de la Nouvelle-Aquitaine ; Georges Strullu, président du conseil de surveillance de la société portuaire du port de Bayonne ; Pascal Marty, président du port de Baiona, avec son directeur, Bruno Vignes ; Mathieu Duhamel, sous-préfet de Bayonne ; André Garreta, président de la CCI du Bayonne Pays Basque ; et François Lafitte, Président de la CCI des Landes, ainsi que les maires des communes concernées et d’autres personnalités locales.   Un investissement de 26 millions d’euros Le nouveau quai Armand-Gommès, long de 180 mètres, symbolise la modernisation du port de commerce de Bayonne, propriété de la région Nouvelle-Aquitaine. Il permet désormais de former un front d’accostage de 560 mètres, dont 360 mètres sur la digue avec le quai du Castel, ce qui permet d’accueillir simultanément deux grands navires. D’ici 2027, le nouveau quai sera équipé d’une nouvelle grue électrique haute performance, d’une capacité allant jusqu’à 60 tonnes, et avec la possibilité de manutention de conteneurs. Construite pour accueillir des navires de plus grande capacité et renforcer l’intermodalité, cette structure stratégique représente un investissement total de 26 M€ pour la Région Nouvelle-Aquitaine, dont 24 M€ dédiés aux travaux, 1 M€ aux études d’ingénierie et 1 M€ supplémentaire pour des mesures environnementales compensatoires, telles que des récifs artificiels,  ou la renaturalisation de la zone du Lazaret. En outre, la société portuaire du port de Bayonne a réalisé les travaux de la superstructure, pour un montant de 4,5 millions d’euros. Pour favoriser le transfert modal vers la terre, 1 200 mètres linéaires supplémentaires de voies ferrées ont été construits, dont 60 % sont financés par le Contrat de Plan Etat-Région (CPER). Les travaux ont également porté sur la construction d’une nouvelle enceinte périmétrique, avec deux nouveaux points d’accès sécurisés, ainsi que sur l’achèvement de la pré-installation du futur établissement d’électrification, OPS. Ce projet s’inscrit également dans une logique générale d’aménagement de la zone portuaire de Blancpignon, qui propose le réaménagement des routes desservant le territoire et l’aménagement de sa diète. Il marque une nouvelle génération de structures portuaires performantes, au service du développement économique et logistique du territoire, ainsi que de l’accueil d ‘équipements d’opérateurs privés à proximité. La cérémonie officielle a débuté par la présentation du président du port de Bayonne, Pascal Marty, qui a laissé place aux différents intervenants tels que Stéphane Gubert, Benjamin Blanc, Pierre Ferreira et Didier Lecuyer, responsables techniques d’un travail qui a duré 19 mois pour « reconstruire une infrastructure qui date des années 1960 » du siècle dernier.   Le port, au-delà des marchandises Georges Strullu, en sa qualité de Président du Conseil d’Administration, a expliqué le nouveau modèle de gouvernance qu’a adopté le Port de Bayonne, basé sur une Société Portuaire détenue par la Région Nouvelle-Aquitaine, la CCI de Bayonne Pays Basque et la CCI des Landes comme actionnaires. Après les discours d’André Garreta, François Lafitte et Mathieu Duhamel, Alain Rousset s’est chargé de clôturer l’événement par un discours dans lequel il a rappelé que les ports « sont plus que des lieux d’échanges commerciaux » puisqu’ils défendent aujourd’hui des politiques économiques, écologiques et innovantes, donc « il faut aussi réfléchir à leur rôle industriel ». En ce qui concerne le rôle transfrontalier de l’installation, M. Rousset a souligné que Bayonne est le point d’union entre la France et l’Espagne, l’épicentre des activités agricoles, environnementales et industrielles, entre autres. Ce point central présente également des défis, tels que les 10 000 camions qui traversent la frontière quotidiennement et qui « forcent » les avancées dans les investissements dans la connexion ferroviaire efficace qui permet également une amélioration de l’intermodalité. Il a appelé au développement du trafic roulier « comme l’ont fait les ports espagnols de Bilbao, Pasaia et Santander » pour transporter des marchandises roulières à travers la mer vers l’Europe centrale. Le transfert de marchandises de la route vers le bateau et le rail « est fondamental » et pour cela il faut une « conjonction de volontés » entre les quatre ports, regroupés en Aquitaine Ports Link (La Rochelle, Rochefort, Bordeaux et Bayonne) et aussi un objectif commun en matière d’investissements, rappelant que les investissements dans ces infrastructures « sont multipliés par quatre dans l’économie locale ». Pour conclure, Alain Rousset a félicité les responsables du port de Bayonne pour la réalisation de ce nouvel équipement et a rappelé que la Société Portuaire a réalisé les investissements, et continuera de le faire à l’avenir, afin que les acteurs industriels et logistiques puissent continuer à se développer « à pleine capacité » dans le port de Bayonne.

El puerto de Baiona inaugura el muelle Armand-Gommès – El Canal

A partir de ahora podrá acoger dos buques de forma simultánea https://www.diarioelcanal.com/el-puerto-de-baiona-inaugura-el-muelle-armand-gommes Por Ander Aguirregomezcorta Guzmán   El puerto de Baiona ha registrado este jueves una de sus jornadas históricas con la inauguración del nuevo muelle comercial Armand-Gommès, una prolongación del muelle Castel en la que es la segunda fase de reestructuración de los muelles de Blancpignon, una obra de 19 meses y 26 millones de euros.   Al evento acudieron Alain Rousset, presidente del Consejo Regional de Nueva Aquitania; Mathieu Bergé, consejero regional encargado de los puertos; Sandrine Derville, vicepresidenta de Nueva Aquitania; Georges Strullu, presidente del Consejo de Supervisión de la Sociedad Portuaria Puerto de Baiona; Pascal Marty, presidente del puerto de Baiona, con su director, Bruno Vignes; Mathieu Duhamel, subprefecto de Bayona; André Garreta, presidente de la CCI del País Vasco de Baiona; y François Lafitte, presidente de la CCI de las Landas, además de los alcaldes de los municipios concernidos y otras figuras de relevancia local. Una inversión de 26 millones de euros El nuevo muelle Armand-Gommès, de 180 metros de longitud, simboliza la modernización del puerto comercial de Baiona, que es propiedad de la región de Nueva Aquitania. Ahora permite formar un frente de atraque de 560 metros, incluidos 360 metros en el espigón con el muelle de Castel, lo que permite acoger a dos buques de gran tamaño de forma simultánea. Para el 2027 es nuevo muelle será equipado con una nueva grúa eléctrica de altas prestaciones, hasta 60 toneladas de capacidad, y con posibilidad de manejará contenedores. Construida para dar cabida a buques de mayor capacidad y reforzar la intermodalidad, esta estructura estratégica representa una inversión total de 26 millones de euros para la Región de Nueva Aquitania, incluidos 24 millones de euros dedicados a obras, un millón de euros a estudios de ingeniería y otro millón más para medidas medioambientales compensatorias, como arrecifes artificiales, o la renaturalización de la zona de Lazaret. Además, la Sociedad Portuaria Puerto de Baiona llevó a cabo las obras de la superestructura, por un importe de 4,5 millones de euros. Para fomentar el cambio modal a tierra, se han construido 1.200 metros lineales de vías férreas adicionales, el 60% de las cuales están financiadas por el Contrato Plan Estado-Región (CPER). Los trabajos también han supuesto un nuevo cerramiento perimetral, con dos nuevos puntos de acceso securizado, así como la realización de la preinstalación para el futuro establecimiento de electrificación, OPS. Este proyecto también forma parte de una lógica de desarrollo general para la zona portuaria de Blancpignon, que propone la recalificación de las carreteras que dan servicio a la zona y el desarrollo de su espigón. Marca una nueva generación de estructuras portuarias de alto rendimiento, al servicio del desarrollo económico y logístico del territorio, además de acoger instalaciones de operadores privados en sus cercanías. El acto protocolario comenzó con la introducción del presidente del puerto de Baiona, Pascal Marty, quien fue dando paso a los distintos intervinientes como Stéphane Gubert, Benjamin Blanc, Pierre Ferreira y Didier Lecuyer, responsables técnicos de una obra que ha tenido una duración de 19 meses para “reconstruir una infraestructura que data de la década de 1960” del siglo pasado. El puerto, más allá de las mercancías Georges Strullu, como presidente del Consejo de Administración, explicó el nuevo modelo de gobernanza del que se ha dotado el puerto de Baiona, en base a una Sociedad Portuaria participada por la Región de Nueva Aquitania, la CCI de Baiona País Vasco y la CCI de las Landas como accionistas. Tras las intervenciones de André Garreta, François Lafitte y Mathieu Duhamel, fue Alain Rousset el encargado de cerrar el evento con un discurso en el que señaló que los puertos “son más que lugares para los intercambios comerciales” puesto que a día de hoy abanderan políticas económicas, ecológicas e innovadoras, por lo que “se hace necesario reflexionar también sobre su papel industrial”. En cuanto al papel transfronterizo de la instalación, Rousset señaló que Baiona es el punto de unión entre Francia y España, el epicentro de actividades agrícolas, medioambientales e industriales, entre otras. Este punto central también presenta desafíos, como los 10.000 camiones que diariamente cruzan la frontera y que “obligan” a adelantar las inversiones en la conexión ferroviaria eficiente que permita también una mejora en la intermodalidad. Llamó a desarrollar un tráfico ro-ro “como tienen los puertos españoles de Bilbao, Pasaia y Santander” para transportar la mercancía rodada a través del mar hacia el centro de Europa. El trasvase de las mercancía de la carretera al barco y el ferrocarril “es fundamental” y para ello se hace necesaria una “conjunción de voluntades” entre los cuatro puertos, reunidos en Aquitania Ports Link (La Rochelle, Rochefort, Burdeos y Baiona) y también una meta común en las inversiones, recordando que las inversiones en estas infraestructuras “se multiplican por cuatro en la economía local”. Para finalizar, Alain Rousset felicitó a los responsables del puerto de Baiona por la consecución de este nuevo equipamiento y recordó que la Sociedad Portuaria ha llevado a cabo las inversiones, y las continuará en el futuro, para que los actores industriales y logísticos puedan seguir desarrollándose “a plena capacidad” en el puerto de Baiona.    

L’AUTF s’engage pour une logistique plus durable et compétitive

Découvrez L’AUTF, partenaire engagé du Salon AGRI’VRAC 2025.  L’AUTF représente les entreprises industrielles et commerciales françaises et les aide à optimiser leurs chaînes logistiques, tous modes confondus : routier, ferroviaire, maritime, fluvial ou aérien. Une vocation : performance et durabilité Multisectorielle et multimodale, l’AUTF agit pour améliorer la compétitivité des entreprises tout en intégrant les enjeux environnementaux. Elle publie régulièrement des guides techniques et ouvre dès septembre, avec l’EMISA (CCI Bayonne), un cycle de formations pratiques dédiées aux chargeurs. Coopérations transfrontalières Les échanges avec l’Espagne s’intensifient, notamment via le European Shippers’ Council et l’Asociación de Cargadores de España. Les discussions portent sur les normes européennes pour les camions électriques, l’harmonisation des carburants alternatifs, le cabotage maritime atlantique et la refonte des tarifs douaniers. Des outils concrets pour décarboner L’AUTF propose plusieurs dispositifs innovants : La Fresque du Fret : ateliers collaboratifs pour sensibiliser et mobiliser autour de la transition énergétique. Plateforme Cumulus / Appel d’air : analyse des flux et aide au report modal ferroviaire et fluvial. Programme REMO / REMOVE : accompagnement sur le report modal financé par les Certificats d’Économie d’Énergie (CEE). Conseils et financements CEE : pour accélérer le renouvellement des flottes, l’électrification et l’optimisation logistique. Les atouts d’une logistique décarbonée Pour les chargeurs, la transition apporte de nombreux bénéfices : meilleure image de marque, réduction des coûts énergétiques, accès facilité aux marchés, conformité réglementaire et avantage concurrentiel durable. Obstacles et perspectives Si les entreprises souhaitent s’engager, elles se heurtent à des contraintes financières et réglementaires. La concurrence mondiale, moins soumise aux mêmes règles, accentue la difficulté. Néanmoins, les leviers sont identifiés : optimisation logistique, nouveaux carburants, véhicules électriques, autoroutes ferroviaires et maritimes. Digitalisation et cybersécurité La digitalisation est un outil majeur pour optimiser les flux et réduire l’empreinte carbone. Mais elle expose aussi les PME à de nouveaux risques, notamment les cyberattaques, sur lesquels l’AUTF alerte et accompagne ses adhérents. Une France en mouvement Comparée à ses voisins européens, la France est techniquement bien positionnée mais doit composer avec un cadre social et réglementaire parfois plus contraignant. Malgré ces défis, de nombreuses entreprises françaises s’engagent déjà sur la voie d’innovations logistiques et énergétiques, confirmant un mouvement de fond vers une logistique durable. Entre coopérations européennes, innovations logistiques et volonté d’accélérer la transition énergétique, l’AUTF confirme son rôle de catalyseur d’une logistique plus durable et compétitive au service des chargeurs et des territoires.